Une bombe prête à exploser ! Les moteurs Puretech de Peugeot, Citroën, DS et Opel seraient-ils sur le point d’être mis sur le banc des accusés ? Après l’affaire retentissante des moteurs essence TCe de Renault, un cabinet d’avocats bien connu étudie maintenant la possibilité d’engager des poursuites contre le géant Stellantis en raison des problèmes rencontrés par ses moteurs Puretech. Préparez-vous à découvrir les détails croustillants de cette affaire qui secoue déjà le monde automobile !
Une action en justice imminente
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Le groupe MyLeo, célèbre pour ses actions collectives retentissantes, a récemment porté plainte contre Renault concernant ses moteurs essence TCe. Mais ce n’est pas tout ! Les avocats de MyLeo n’ont pas perdu de temps et ont également creusé les sombres affaires des moteurs Puretech de Stellantis. Depuis plusieurs jours, les discussions font rage et les commentaires fusent sur Caradisiac. Il semblerait que les moteurs Puretech, équipant les modèles Peugeot, DS, Citroën et Opel depuis 2012, soient sous le feu des projecteurs à cause de problèmes récurrents.
Un coup dur pour Stellantis ! Le petit trois cylindres essence 1,2 litre installé dans ces véhicules a été épinglé à plusieurs reprises pour des pannes catastrophiques, notamment une casse prématurée de la courroie de distribution et une surconsommation d’huile inquiétante. Interrogé, Maître Christophe Lèguevaques, avocat de la plateforme MyLeo, confirme que le cabinet rassemble actuellement des témoignages de clients mécontents afin d’étudier toutes les voies possibles pour obtenir des indemnisations à la hauteur du préjudice subi. Une demande en référé, similaire à celle déposée dans l’affaire « Motorgate » de Renault, visant à contraindre Stellantis à fournir des preuves de sa connaissance des problèmes de fiabilité de son moteur, est en cours de préparation.
Un accord à l’amiable en vue ?
Tout comme dans l’affaire des moteurs TCe de Renault, Stellantis a jusqu’à présent refusé d’organiser un rappel officiel pour résoudre définitivement ces problèmes. Mais tout n’est pas encore perdu ! Christophe Lèguevaques n’écarte pas la possibilité d’un règlement à l’amiable avec Stellantis. Cependant, si les preuves recueillies sont suffisamment accablantes, il se dit prêt à mener cette bataille jusqu’au bout devant les tribunaux. Au passage, il révèle que Renault a fait appel de la décision de divulguer des documents internes dans l’affaire « Motorgate ». Quant à la procédure liée à la plainte pénale déposée par la plateforme MyLeo, elle devrait débuter en novembre 2024, pour le plus grand bonheur des amateurs de sensations fortes !